mardi 12 janvier 2010

48 heures. 

48 heures, quand on y pense, c'est bien, c'est court, ca évite les faux espoirs.
Ca permet de passer au plan B - heu, quel plan B ? - sans attendre pour des prunes.
Autant se faire rejeter vite fait bien fait, qu'après des semaines et des mois d'attente.
En 48 heures.
Même si quand même, je ne suis pas d'accord, le sujet est large ET à la mode, la nouveauté est incontestable, les figures sont bien faites et j'ai suivi absolumment toutes les règles.
Mais, bon, voilà, 48 heures ont suffit pour briser mon rêve de ces 6 derniers mois.
N'empêche, cet empaffé d'éditeur de Nature, j'suis sure qu'il n'y a même pas jeté un coup d'oeil, à mon papier...
Ca commence bien 2010 !
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