mercredi 26 octobre 2005

Alcool(s). 

Parfois on croit naïvement que la seule solution à toutes les questions existentielles de la journée se trouvent sous de multiples verres de vin rouge qu'il faut vider en un minimum de temps, afin de découvrir si décidément il serait possible de supporter une élévation brutale et prochaine du niveau de testostérone du labo.
Ca ne marche pas, en fait.
Ce genre de réponses se trouvent rarement au pub, et encore moins dans les lendemains matins au crane douloureux. Et ce même s'il est définitivement salutaire de passer de longues heures à refaire le monde avec son labmate préféré qui lui boit des bières, comme quoi de la testostérone il en a aussi, oh mais oh, ce qui suggère fortement que la gentillesse et la sensibilité ne sont pas entièrement sous controle hormonal.
Certes.
Alors ce soir je vais tester la méthode oestrogène-progestérone-papotages-entre-filles-chez-ikéa. L'avantage double étant que je devrais au moins m'en tirer avec un nouveau fauteuil pour lire mes publis dans un confort maximum le week-end, et sans mal au crane.
A moins qu'ils insistent pour nous offrir une dégustation gratuite de spécialités alcoolisées suédoises à la cafét, s'entend...
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