lundi 18 juillet 2005

Le petit labo dans la prairie... 

Quand même, quand on prend 5 minutes pour y réfléchir, surtout quand on n'a rien d'autre à faire, comme mesurer des cotylédons, les yeux perdus dans des photos de plantules et la souris en pleine agitation circulaire, c'est pas terriblement cérébral, et puis ça très fait mal au poignet droit, aussi, ce qui n'empêche pas de révasser, enfin bref, si on prend 5 minutes pour y réfléchir vraiment, c'est évident, l'homme idéal, c'est Charles Ingalls.
Beau gars, fort, honnête, travailleur, gentil, le coeur gros comme ça ET sur la main, toujours prêt à sauver la vache du voisin ou l'orphelin du village d'à coté, le tout avec le sourire et un violon à la main, le visage hâlé de la bonne santé du fermier heureux.
Y'a pas à dire, Charles Ingalls, y'a pas mieux.
Le seul problème avec Charles Ingalls, c'est qu'il est marié.
Et forcément, ça fait pas mon affaire.
Un peu comme le gentil frenchie du 6ème étage, avec sa belle alliance qui brille à la main gauche, son grand sourire et ses yeux rieurs.
Pas mon affaire du tout.
Elles font quand même un peu chier, les Caroline Ingalls.
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