mercredi 23 février 2005

Y'a des flat case qui traînent sur scène... 

Je redeviens feignante.
Je passe mes journées à ne rien faire, ou le minimum syndical.
Mercredi, ¿Qué hora es ?, 2 PCR et un TOPO-cloning, c'est même bien en-dessous du minimum syndical, c'est ridicule.
Mais mon cerveau se heurte à la barriere des 4 semaines.
C'est loin, et c'est demain.
Listes, assurances, dry ice, cartons, packing, packing, carry on working.
"Have you found a place now ?"
No.
Et je m'en fous.
Parce que je ne pourrai pas récolter les graines des plantules que j'ai transferrées lundi, et que je n'ai confiance en personne.
Parce que les 2 groupes se disputent déja autour des gel tank et des power packs, alors que la liste a de toute facon été établie par les 2 PI, y'a même pas à discuter les gars, pourquoi finir comme dans un divorce miteux ?...
Parce que je les vois regarder ma paillasse avec des yeux gourmands, et que ça rempli les miens de larmes.
Parce que j'ai envie de me casser maintenant, c'est trop moche les départs, et je ne supporte pas les séparations.
Encore moins les abandons.
Vivre, c'est comme aimer. Vivre, c'est partager. Jamais abandonner.
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